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Description
Dans l’Antiquité, il était rigoureusement interdit d’enterrer les défunts dans les villes. Les cimetières prenaient place hors-les-murs, de préférence le long des voies.
Axe majeur vers l’Italie, la voie Aurélienne était ainsi ponctuée de nécropoles dont de multiples découvertes (inhumations en bâtière, en coffrage ou en sarcophage de plomb ou de pierre ; inscriptions), ont montré qu’elles s’égrenaient sur au moins 1,5 km de long en direction de Fréjus. Elles formaient des petits ensembles dont l’organisation et l’emprise ont fluctué au fil du temps.
A l’entrée sud-est de la ville, s’est développé un cimetière qui est surtout connu par le mausolée monumental érigé devant la porte de ville dans la seconde moitié du IIe s. apr. J.-C. Les fouilles réalisées à l’emplacement de la place de Verdun ont montré que la construction de ce mausolée avait entraîné la destruction de sépultures à crémation plus anciennes. Des inhumations en bâtière ou en pleine terre ont par ailleurs été mises au jour tant au sud qu’au nord de la voie.
Axe majeur vers l’Italie, la voie Aurélienne était ainsi ponctuée de nécropoles dont de multiples découvertes (inhumations en bâtière, en coffrage ou en sarcophage de plomb ou de pierre ; inscriptions), ont montré qu’elles s’égrenaient sur au moins 1,5 km de long en direction de Fréjus. Elles formaient des petits ensembles dont l’organisation et l’emprise ont fluctué au fil du temps.
A l’entrée sud-est de la ville, s’est développé un cimetière qui est surtout connu par le mausolée monumental érigé devant la porte de ville dans la seconde moitié du IIe s. apr. J.-C. Les fouilles réalisées à l’emplacement de la place de Verdun ont montré que la construction de ce mausolée avait entraîné la destruction de sépultures à crémation plus anciennes. Des inhumations en bâtière ou en pleine terre ont par ailleurs été mises au jour tant au sud qu’au nord de la voie.
Nom affiché
Les nécropoles de la voie Aurélienne